Alors que l’année académique 2022-2023 touche à sa fin, il peut être tentant de faire le bilan de l’année écoulée dans cet éditorial. Il est vrai que l’année 2022-2023 a été marquée par une activité scientifique qui a enfin retrouvé son niveau d’avant la pandémie COVID-19. On ne peut que se réjouir de la richesse des événements et des rencontres scientifiques qui ont eu lieu au cours de cette année qui se clôt sur deux événements d’envergure accueillant nos partenaires canadiens, journées pendant lesquelles a été signé le renouvellement de la convention-cadre entre l’université de Poitiers et l’université de Moncton.
Il nous semble toutefois intéressant de porter notre regard, dans cet éditorial, vers le futur et plus précisément vers l’année prochaine qui sera une étape importante avec la création des Instituts Fédératifs de Recherche. En effet, l’Université de Poitiers regroupe ses 37 unités (dont 13 sont partagées avec le CNRS, l’Inserm ou le CHU) en cinq Instituts Fédératifs de Recherche (IFR) qui rassemblent des disciplines connexes : biosciences et santé, énergie, environnement et évolution, mathématiques, physique, ingénierie et sciences du numérique, sciences humaines, économiques et sociales, droit et sciences politiques. L’objectif de ces « pôles » scientifiques est de renforcer la visibilité des recherches menées à l’Université de Poitiers et de favoriser les collaborations interdisciplinaires.
En ce qui concerne les sciences humaines, économiques et sociales, c’est tout naturellement que la MSHS a été au centre des discussions pour porter cet IFR. En effet, les 22 MSH qui sont déployées sur l’ensemble du territoire dans le cadre de l’infrastructure nationale de recherche que constitue le Réseau national des MSH, ont pour mission première de soutenir et favoriser des projets de recherche interdisciplinaires dans le domaine des sciences humaines, économiques et sociales. Cette nouvelle compétence locale doit maintenant être opérationnalisée ; les échanges avec la présidence de l’université se poursuivent et le calendrier a été fixé pour une mise en œuvre d’ici la fin de l’année civile. Avec cette mission clairement définie, le rôle significatif de la MSHS de l’Université de Poitiers dans l’avancement de la recherche en sciences humaines, économiques et sociales est encore renforcé.
Thierry Olive et Sylvie Hanote
Les Axes
L’éducation par le travail. Quelle place pour la santé et la sécurité au travail dans l’éducation des jeunes ?
Depuis les années 1980, la relation entre l’école et l’entreprise se resserre en France. Ce mouvement se repère aujourd’hui dans le champ éducatif où les stages sont devenus la norme et cela de la 3e au diplôme de Master. À cela s’ajoute une montée fulgurante depuis 2020 du dispositif d’apprentissage. Dans ce contexte, les jeunes s’exposent de plus en plus aux conditions du travail. La question est de savoir comment sont-ils préparés à prévenir les risques professionnels qui y sont associés ? Cette interrogation est d’autant plus importante que les accidents du travail touchent particulièrement les jeunes et plus spécifiquement ceux/celles en apprentissage.
Afin d’éclairer les enjeux qui traversent aujourd’hui l’éducation à la prévention des risques professionnels, une journée d’étude est organisée à l’Université de Poitiers le 22 juin 2023. Voulue comme un événement didactique et pluriel, celle-ci réunira sociologue, économiste, juriste et professionnels de terrain afin d’apporter des regards croisés sur le sujet.
Cette journée sera introduite par un temps à multiples voix pour poser les bases disciplinaires autour de cet objet. Elle sera poursuivie par une conférence autour des politiques publiques de mise au travail de la jeunesse et animée par la sociologue Florence Ihaddadène.
Les professionnels feront leur entrée lors d’une table ronde. Ce ne sont pas moins de cinq acteurs et actrices venu.es de l’enseignement secondaire, du supérieur, de l’inspection du travail ou encore de l’agence régional pour l’amélioration des conditions de travail qui débattront et apporteront leurs expériences de terrain.
Une apprentie menuisier, une adolescente, installe des rampes dans un bureau modernisé et est supervisée par son collègue. Elle utilise une perceuse pour faire des trous de guidage pour les mains courantes. Ils portent des vêtements de sécurité.
L’après-midi débutera par la découverte d’un milieu peu exploré, mais dont l’importance est grande dans l’économie française, celui de la très petite entreprise (TPE). Ainsi, Fanny Darbus et Émilie Legrand, toutes deux sociologues, nous présenteront leur enquête sur la santé au travail dans cet univers. Ces entreprises sont en effet des lieux où la part des accidents du travail est importante. Il était donc pertinent d’ouvrir les portes de ces TPE pour comprendre potentiellement les risques auxquels peuvent être confrontés les stagiaires ou encore les apprentis.
Nous poursuivrons avec un apport statistique venu d’une enquête menée en 2018 par l’observatoire régional de la santé Nouvelle-Aquitaine. Son président, Julien Giraud, détaillera les principaux éléments qui ressortent de cette enquête sur la santé des apprentis en Nouvelle-Aquitaine.
Enfin, la sociologue Zoé Rollin terminera cette journée sur une exposition portant sur les apprentis exposés aux agents cancérogènes durant leurs formations. Ainsi à travers une enquête toujours en cours dans les Centres de Formation d’Apprenti (CFA), cette chercheuse abordera ces questions à l’aune des formations de la beauté et de l’automobile.
Cette journée d’étude doit être l’événement qui vient fédérer les forces vives intéressées par ces questions à l’Université de Poitiers. Ainsi, n’hésitez pas à rejoindre ce mouvement qui veut réunir les disciplines des sciences humaines et sociales autour d’un enjeu crucial, celui de la santé au travail.
Cet événement se tiendra le 22 juin 2023 de 9h à 17h, à l’Hôtel Fumé, UFR SHA, B18, Amphi Bourdieu, inscription préalable obligatoire sur https://santesecurite.sciencesconf.org/
Aymeric Le Corre
Doctorant en sociologie,
Laboratoire GRESCO
La rubrique verte
La Marche verte
Pour la troisième fois, une nouvelle marche verte est programmée le mardi 20 juin à 14h00 ; un rafraîchissement local (jus de pommes du Jardin botanique universitaire de Poitiers — Domaine du Deffend) clôturera cette édition.
Le CNRS a lancé en 2019 une démarche nationale avec l’objectif de réduire l’impact sur l’environnement de ses activités de recherche, tout en conservant son excellence. Une organisation interne a été mise en place à toutes les échelles de l‘établissement pour coordonner la démarche nationale et soutenir les initiatives locales.
Le référent développement durable organise les échanges de points de vue, l’émergence d’idées pour aboutir à un plan d’action mettant en œuvre le développement durable de manière concrète dans son laboratoire. Sa mission est de piloter la démarche « Développement durable » en lien avec le Directeur d’unité. Il favorise la sensibilisation, et l’appropriation par les agents du laboratoire aux pratiques visant à réduire leur empreinte sur l’environnement en matière de déplacements, d’économies d’énergie, d’économie circulaire, d’achats durables et de respect de la biodiversité, en veillant à l’adéquation des actions mises en place avec le cadre national et en lien avec le référent en délégation régionale et les partenaires (autres tutelles, collectivités, référents développement durable du site).
Des référents « Développement durable » ont été nommés dans les laboratoires CNRS du périmètre de la MSHS.
En voici la liste :
CERCA : Badiâa Bouazzaoui et Frédéric Danion ;
MIGRINTER : Olivier Clochard et Emmanuel Demaury ;
MSHS : Thierry Olive et François Debien.
David Chesnet et François Debien
Assistants de prévention MSHS
Réseaux
Numérique pour l’éducation
Le renforcement des compétences numériques des élèves est aujourd’hui un impératif. En effet, l’école doit permettre aux apprenants de se former par le numérique mais aussi au numérique, car les défis à relever sont conséquents et la maîtrise des outils indispensable dans un environnement technologique en constante évolution.
En outre, le numérique induit des changements pédagogiques permettant de développer compétences, apprentissages et individualisation des élèves. Générer de nouvelles recherches autour du numérique pour l’éducation permet d’identifier les pistes à envisager afin de lutter contre la fracture numérique, les inégalités scolaires et les difficultés d’apprentissage. Il est donc important que les différents acteurs du territoire (publics et privés) et les chercheurs présents à la MSHS de Poitiers, se rencontrent régulièrement afin de comprendre les disparités existantes et de réfléchir à des solutions adaptées, visant à favoriser l’inclusion et l’égalité des chances.
Ainsi, des rencontres thématiques en lien avec le numérique pour l’éducation sont proposées à la MSHS le 1er jeudi de chaque mois dans le but de promouvoir de nouvelles recherches transversales et collaboratives. Trois rencontres ont d’ores-et-déjà eu lieu en mars, en avril et en juin.
Le réseau régional Biosena rassemble des acteurs de tous horizons, issus du monde académique et du monde socio-professionnel, dont l’objectif est de contribuer à la connaissance et à la préservation de la biodiversité, ainsi qu’à l’amélioration des services écosystémiques par la recherche, la dissémination des connaissances, la diffusion de la culture scientifique et le transfert de compétences dans un mode de recherche-action, se lon les recommandations issues du rapport scientifique régional Ecobiose.
Biosena a orchestré en 2021 la Journée des Formations et Métiers liés à la Biodiversité à La Rochelle et entretenu depuis le groupe de travail Médiation des connaissances liées à la biodiversité, coordonné par Jean-Renaud Boisserie, directeur de recherches au laboratoire Palevoprim, CNRS/Université de Poitiers et membre du comité de pilotage de Biosena. Suite aux propositions de ce groupe de travail, Biosena a organisé, le 14 mars 2023, à la Maison des Sciences de l’Homme et de la Société de Poitiers, une journée dédiée à la diffusion, la médiation, la vulgarisation et la sensibilisation aux enjeux de la biodiversité. Intitulée Biodiversité : Diffuser les Connaissances, cette journée gratuite ouverte à toutes et à tous a rassemblé 31 participant·es, acteurs néo-aquitains du monde de la recherche, de la médiation des sciences, et de l’éducation à l’environnement.
Un aperçu des organismes présents a été distribué sous la forme d’un livret papier, et certains acteurs majeurs ont présenté leur structure et leurs missions : l’Espace Mendès France, l’union régionale des Centres Permanents d’Initiative pour l’Environnement, le réseau régional d’éducation à l’environnement GRAINE Nouvelle-Aquitaine, la direction Éducation et Formation de la LPO France, France Nature et Environnement Nouvelle-Aquitaine, l’Agence Régionale Biodiversité, et le service Science et Société de l’université de Poitiers.
L’événement a permis aux participants de travailler ensemble sur les enjeux communs, notamment régionaux, autour de la diffusion des connaissances liées à la biodiversité, ainsi que sur les obstacles rencontrés et les ambitions auxquelles un groupe régional pourrait contribuer.
Les propositions tangibles d’actions qui en découlent font ressortir un besoin crucial d’interconnaissance entre les milieux de la recherche, de la médiation des sciences et de l’éducation à l’environnement : rencontres, partages d’expérience, outils de réseau, cartographie, webinaires et formations… Les besoins tacites et ignorés du réseau de la diffusion des connaissances sur la biodiversité ont pu se rendre audibles grâce à cet événement. Biosena est ravi de ce succès et impatient d’avancer vers la rencontre de tous ces acteurs.
Source : Dessin de Silver pour la recherche action « Huis-clos Familiaux », MSHS Université de Poitiers
La recherche « Les huis-clos familiaux » est une recherche action qui s’intéresse aux retentissements des confinements liés à la pandémie de Covid 19 sur les violences intrafamiliales et conjugales.
Il s’agit d’une recherche pluridisciplinaire portée par la MSHS de l’université de Poitiers et financée par la Région Nouvelle-Aquitaine. Elle rassemble des enseignants chercheurs de plusieurs disciplines (histoire, psychologie, sociologie) et des travailleurs sociaux et de terrain. Cette recherche envisage le retentissement du confinement et de l’enfermement sur les violences intrafamiliales et conjugales. Il s’agit ici d’évaluer, de prendre en charge et de prévenir les violences intrafamiliales en situation de confinement, et à plus long terme d’améliorer la prise en charge des auteurs et des victimes (hommes et femmes). Pour ce faire, son armature est construite sur 3 niveaux en interaction.
Le niveau 1 envisage la notion de confinement et son actualité dans une perspective historique.
Le niveau 2 interroge les effets du confinement sur les liens de couple et les violences de genre dans une perspective psychologique et sociologique. Les investigations y sont à la fois quantitatives (via la diffusion de questionnaires à large échelle sur les réseaux sociaux) et qualitatives (via des entretiens menés auprès des auteurs et des victimes de violences conjugales).
Le niveau 3 favorise les dispositifs de prévention et de prise en charge des violences intrafamiliales. Porté directement par les partenaires sociaux et de terrain, il a permis de diffuser des enquêtes sociales complémentaires à celles menées au niveau 2 de la recherche, auprès des auteurs et des victimes de violences conjugales, mais aussi de questionner les représentations des professionnels engagés sur le terrain : en termes de ressources mais aussi de manques identifiés et/ou identifiables pour penser qualitativement des dispositifs de prévention.
Les investigations cliniques et de terrain – via les analyses auprès des auteurs et des victimes de violences conjugales – mettent en évidence le fait que les confinements n’ont quasiment jamais inauguré de faits de violences au sein de la famille, mais en ont parfois précipité l’intensité et la fréquence, par des effets de doubles enfermements, favorisant l’expression des liens d’emprise.
Dans certaines situations – a fortiori quand l’auteur et la victime vivaient dans des lieux séparés – la période de confinement a pu être vécue comme une trêve. Celle-ci prenait essentiellement deux formes : la séparation des corps, ou l’enfermement objectif au sein du foyer, qui, en tarissant les relations sociales, réduisaient de fait, les risques, pour la victime, d’échapper à l’emprise de son agresseur, qui, desserrait transitoirement l’étau de la violence. Quoi qu’il en soit, les investigations mettent en évidence un manque de mobilisation des ressources existantes, même quand elles étaient connues par les victimes ou par les auteurs, les empêchant de sortir de ce cercle vicieux.
C’est à ce titre, et fortes de ces constations, que les partenaires sociaux et de terrain impliqués dans le niveau 3 de la recherche ont rédigé un Livre Blanc à destination des victimes, des auteurs des violences conjugales mais aussi des professionnels qui les encadrent pour présenter des préconisations en termes de prise en charge et de prévention des violences conjugales sur le territoire de la Nouvelle-Aquitaine. L’ensemble de ces conclusions et préconisations est accessible sur le site de la recherche : https://violences-familiales.prd.fr/presentation-de-la-recherche-action/
Invités par l’université de Senshû (créée en 1880), à Tokyo, et à l’université de Tôhoku (fondée en 1907), à Sondaï, Frédéric Chauvaud, coordinateur scientifique du Réseau de recherche Nouvelle-Aquitaine en bandes dessinées, et Julien Gaillard, coordinateur technique, ont, pour le premier, exposé les travaux sur le corps dans la bande dessinée et, pour le second, présenté le réseau de recherche Nouvelle-Aquitaine en bande dessinée afin d’éclairer les collègues japonais sur la possibilité de créer une structure similaire dans l’archipel nippon. Les travaux sur le corps, portés en particulier par la MSHS de Poitiers, ont notamment permis d’échanger avec le responsable du festival annuel des mangas et d’aborder des sujets comme le corps brutalisé, aussi bien par le biais du crime que des violences coloniales, les corps difformes et les corps handicapés et enfin les violences faites aux femmes. Pour étudier la bande dessinée, devenue objet de plus en plus important de recherche il n’existe pas une lecture unique. Benoît Peeters avait souligné que toutes les approches, de la plus naïve à la plus érudite, étaient légitimes. La question du corporel est devenue, dans la littérature graphique, une ressource pour comprendre les sociétés du présent comme celles du passé. En effet, les études corporelles permettent encore d’interroger des questions liées à la santé, comme en témoignent les bandes dessinées, aux allures de témoignages, sur le cancer, la sclérose en plaque, la maladie d’Alzheimer ou autres pathologies. Elles sont liées à des problématiques très contemporaines comme le corps vieillissant ou le corps augmenté. La bande dessinée est aussi une manière d’interroger le devenir du corps humain. La mission a été l’occasion de jeter les jalons d’une coopération renforcée permettant de traiter, dans une perspective comparatiste, des représentations visuelles de la violence, et de leurs effets.
Doctorante au CeRCA depuis 3 ans, Mélissa Lafleur a participé à Ma thèse en 180 secondes en présentant l’un des versants de son sujet de thèse : « Toi ou moi ? Quand la distinction entre soi et l’être aimé s’estompe ». Thèse encadrée par Lucette Toussaint et Cédric Bouquet. Un réel défi que Mélissa s’est lancé en participant à cet événement. Exercice périlleux qui mêle à la fois esprit de synthèse, originalité du texte, mise en scène, concentration, pour mettre à la portée de toutes ettous son sujet de recherche et le tout en un temps record de 180 secondes ! Tous les candidats sélectionnés ont été rigoureusement formés pour mener au mieux ce concours. La troupe de théâtre toulousaine « Science Comedy Show », spécialisée dans la vulgarisation de contenus scientifiques a été une aide précieuse pour tous les candidats. Ils ont pu apporter leurs conseils pour la préparation du texte, pour la présence scénique et une assistance aux multiples répétitions. Formation intense et constructive pour toutes et tous.
Félicitations à Mélissa qui a été sélectionnée le 2 mars 2023 lors de la finale locale à Poitiers et qui a obtenu le prix des lycéens le même jour. Elle a ensuite obtenu le prix du jury à la finale régionale organisée par Limoges le 23 mars, pour participer à la ½ finale nationale le 30 mars à Paris. Elle a également participé à la version anglaise du concours MT180 « Three Minute Thesis ». Mélissa a vécu tous ces moments comme une expérience très enrichissante, intense, émouvante, où le partage, l’échange entre doctorants de toutes disciplines a été optimum. La découverte et le plaisir d’être sur scène face à un large public étaient réels. Et, aujourd’hui, parler de sa thèse avec ses proches est devenu chose beaucoup plus aisée. Une expérience que Mélissa recommande à tous les doctorants, une expérience à vivre car en un mot ce n’est que du positif !!!! Vous souhaitez regarder la prestation de Mélissa : https://www.youtube.com/watch?v=86LeusSq3Rc
Mélissa Lafleur, doctorante Laboratoire CeRCA, et Nathalie Marlet, documentaliste MSHS
Quoi de neuf ?
Juin
Juillet
Octobre
19 au 30 juin : 67èmes semaines d’études médiévales – CESCM
22 juin : JE « L’éducation par le travail » – GRESCO
23 juin : JE « Savoir lire, comprendre et utiliser l’écrit à l’ère du numérique » – CeRCA
22 au 24 juin : Colloque « Un avenir en partage. Perspectives croisées et convergences possibles entre les acadiens, québécois et autochtones » – MIMMOC/IEAQ
26 et 27 juin : Colloque annuel APLAQA (Association des professeurs des littératures acadienne et québécoise de l’Atlantique) – FoReLLIS
29 et 30 juin : Journées thématiques ED Humains en Société
6 octobre : JE « Phénomène de l’oral spontané en allemand, en anglais, et en français : perspectives croisés entre linguistique et didactique » – FoReLLIS
11 au 13 octobre : Colloque international « Generacion critica » – CRLA-Archivos
12 au 14 octobre : Colloque international « Le sang et la vertu. Noblesse de sang et noblesses d’âme au Moyen Âge
XIe conférence d’Arenberg pour l’Histoire » – CESCM
13 octobre : JE « Ajustement et Hésitation » – FoReLLIS